La mélodie de Daft Punk, la grosse basse de Modeselektor et le dandysme de Jamie Liddel époque Supercolider. Sweat X combine sans mal le goût pour le chant de la machine et l’addiction pour la vibration synthétique. Une fusion qui ne déplaira pas à Tiga et son Turbo. De l’ouverture terriblement gay paillette au « driving bass remix » de Mike Slott, de » The Knife »garantissant un son rêche gavé d’influences ghetto teck made by Otto Von Shirach. C’est du concentré… c’est parfait…
SWEAT.X « I’m That Alley »